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LE VOL DU BOURDON

19,50

Max Maurin, personnage fictif, est né à Nice en 1943 de parents ouvriers. Très jeune, il a témoigné un intérêt notable pour la presse sous toutes ses formes. Après des études de journalisme à Paris et à New York, il obtint son premier poste de journaliste au Parisien en 1965…

Description

Max Maurin, personnage fictif, est né à Nice en 1943 de parents ouvriers. Très jeune, il a témoigné un intérêt notable pour la presse sous toutes ses formes. Après des études de journalisme à Paris et à New York, il obtint son premier poste de journaliste au Parisien en 1965.

L’éloquence de sa plume et son caractère bien trempé l’ont amené à être rapidement connu et reconnu dans le monde de la presse écrite. Véritable virtuose de la photo, il s’est rapidement senti concerné par la géopolitique et par le sang versé sur tous les continents. Son orientation professionnelle et ses prédispositions ne tarderont pas à le conduire naturellement vers le métier de grand reporter de guerre au New York Times.

Pendant quarante ans, du Vietnam à l’Afghanistan, souvent au péril de sa vie, il a photographié l’horreur de la guerre sous toutes ses coutures. Il a souvent partagé la souffrance physique et morale de ceux qu’il prenait en photo. Ses photos brutales, poignantes et terriblement réalistes étaient aussi l’expression de son humanisme. La densité des événements et l’horreur côtoyée au quotidien, mêlées à des évènements familiaux dramatiques l’entraîneront dans une sorte de névrose traumatique qui semblait avoir tué définitivement ce baroudeur émérite. C’était mal connaître le bonhomme. Un pied dans sa tombe, Max Maurin va se lancer un défi hors du commun qui lui démontrera une fois de plus combien la vie peut être imprévisible. À quelques heures d’officialiser son challenge, le film de sa vie entière va défiler dans sa tête, mais cela ne l’empêchera pas d’engager ce qu’il considère être son dernier combat.

Il va se surprendre et surprendre les autres en tentant d’abolir les erreurs d’une vie trop remplie. Ce défi le conduira vers une succession de moments inattendus qui changeront sa destinée.

La grandeur des hommes ne résiderait-elle pas aussi dans la façon dont ils sauraient se remettre en question.

La seule mort que les Grands Reporters de Guerre ne pourront jamais prendre en photo, c’est la leur. Les yeux rivés dans leur objectif, ils ne l’auront pas vue venir. René KOEHL

 

Informations complémentaires

Poids 0,439 kg
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