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L’ANTI–DARWIN

20,00

Le darwinisme est omniprésent dans les programmes de l’Éducation Nationale, les musées de la préhistoire, les films type « l’Odyssée de l’espèce », etc. Tout le monde connaît « Lucy » ! Son découvreur vedette Yves Coppens a participé à la vulgarisation de la théorie de l’Évolution, aux côtés de sommités telles qu’Hubert Reeves ou Albert Jacquard

Description

Le darwinisme est omniprésent dans les programmes de l’Éducation Nationale, les musées de la préhistoire, les films type « l’Odyssée de l’espèce », etc. Tout le monde connaît « Lucy » ! Son découvreur vedette Yves Coppens a participé à la vulgarisation de la théorie de l’Évolution, aux côtés de sommités telles qu’Hubert Reeves ou Albert Jacquard.

Aussi quel étonnement de s’apercevoir qu’en réalité le darwinisme est cliniquement mort ! De Stephen Jay Gould à Richard Dawkins, les plus grands évolutionnistes contemporains ont abandonné l’idée d’une macroévolution acquise sur des millions d’années par le gradualisme et le hasard, sans pouvoir véritablement la remplacer… Aujourd’hui, c’est par la seule force de son idéologie que le système de Darwin reste dominant !

L’auteur examine les connaissances scientifiques actuelles et analyse les conflits régnant entre chercheurs, un monde qui aime à se présenter comme lisse et rationnel. Il démonte les mécanismes de la Science Hollywood et de l’Évolution-business, rente de monopole d’un certain establishment universitaire. La science véritable, elle, n’a pas accès aux médias. Tout est verrouillé…

On va ensuite de surprise en surprise : le prétendu combat entre évolutionnistes et créationnistes, loin d’opposer Science et Religion, est une querelle entre mouvements sectaires ; le darwinisme c’est aussi une théorie qui a largement alimenté les pires dictatures ; à l’heure actuelle, l’Évolution comme religion d’État politiquement correcte est un élément du New Age et représente même une menace contre la démocratie.

Cette analyse sans concession du darwinisme, menée sur le terrain des sciences exactes comme sur celui des sciences humaines ou de la théologie, finit par dissiper les brumes de l’idéologie ; le « paradigme perdu » d’Edgar Morin, la nature humaine, est retrouvé, demeurant ce qu’il a toujours été : un pur mystère pour la science !

 

Professeur agrégé d’économie, sociologie, sciences politiques, mais aussi historien et philosophe, Sergueï KOLESSNIKOW, connu comme essayiste et romancier, était paradoxalement mieux placé qu’un biologiste, généticien ou autre paléontologue spécialisé pour mettre un coup de pied dans la fourmilière. Écrit dans un style très accessible et agréable, c’est un livre événement.

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Poids 400 kg
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