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DIAGONALES

18,00

Aux alentours de Nice, le meurtre d’une vieille femme, dont le corps a été rejeté par la mer et premier d’une longue série, conduit Fiona, criminologue nouvellement mutée sur la Côte d’Azur, à s’associer avec Matthieu, flic à Nice, dans une relation tout autant passionnelle que professionnelle, sous le regard omniprésent d’un « Je » qui semble mener contre la jeune femme une partie d’échecs…

Description

Aux alentours de Nice, le meurtre d’une vieille femme, dont le corps a été rejeté par la mer et premier d’une longue série, conduit Fiona, criminologue nouvellement mutée sur la Côte d’Azur, à s’associer avec Matthieu, flic à Nice, dans une relation tout autant passionnelle que professionnelle, sous le regard omniprésent d’un « Je » qui semble mener contre la jeune femme une partie d’échecs. Rythmée par le flux et le reflux de la Méditerranée, leur enquête les plonge dans l’univers et l’entourage de la riche et trouble famille Coudert, dont Matthieu est un ami intime.
Blanc et noir, ce polar psychologique mêle ce qui fait l’obscur en l’homme : la frustration, l’envie, la vengeance, la manipulation et ce qui en fait la lumière : la justice, la vérité et paradoxalement le sexe quand l’amour en dépasse la simple jouissance, le tout dans un suspense haletant !

Pourrez-vous, comme Fiona, démêler les Diagonales de ces destins entrecroisés pour identifier ce « Je » meurtrier et révéler, de l’ombre à la lumière, la réalité et le rôle de chacun sur cet échiquier ?
Et vous, ne vous êtes-vous jamais demandé si vous n’aviez pas un cadavre enfoui dans un placard ?

Florence D. Fraisse se définit comme Retraitée prof de lettres tout terrain, artiste instinctive et maraudeuse convaincue.
Son carburant est l’Amour et son expression favorite : les mots et la danse ! Son surnom : la Fée.
Voici comment elle appréhende l’écriture :
J’ai toujours été fascinée par le pouvoir des mots, de l’univers qu’ils recréent et interprètent, par leur force de persuasion et de compréhension, par leur pouvoir presque médiumnique qui me semble converser avec quelque chose en moi, quelque chose d’indescriptible comme une sorte de mélopée primitive…
Pour moi, c’est surtout la nuit que tout jaillit. L’écriture, comme tout art, c’est une pulsion que l’on ne réfrène pas, qui tape à ta porte de dedans et que tu accouches instinctivement comme mue par des mécanismes dont on n’a pas forcément conscience.

Informations complémentaires

Poids 0,306 kg
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